Lars Fredrikson / Estate

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B II B, 02 - 03.2022
Exhibition view at Galerie In Situ-fabienne leclerc, Grand Paris
© Thomas Lannes


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Lars Fredrikson - Atelier (Archive)
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Retrospective MAMAC, Nice France
16/11/2019 - 22/03/2020
Exhibition view
Courtesy: Galerie In Situ-fabienne leclerc, Grand Paris; MAMAC Nice; Lars Fredrikson Estate
Lars Fredrikson / Estate
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Inox, 1974-75
Inox gravé monté sur panneau de bois
95 x 195 x 5 cm
Pièce unique
© Rebecca Fanuele

 

"REFLIEFS EN INOX"

Dans les années 1960, l'utilisation de miroirs et de surfaces réfléchissantes est de plus en plus répandue dans la sculpture. Elle permet de faire la démonstration de l'importance des déplacements du spectateur dans le lieu de l'exposition, interroge son rapport à l'égo et explore les phénomènes de réflexion lumineuse et de destructuration de l'espace.

C'est dans ce contexte que Lars Fredrikson utilise des plaques en inox dès la fin des années 1960. Ce travail se situe entre la gravure, la peinture et la sculpture, l'artiste y déployant de multiples interventions : éraillures, lignes, incisions perforations et martèlements interviennent sur les deux surfaces. Il associe ces gestes à des traces de peinture, les complète parfois de mobiles en plexiglas ou en métal, ou les soumet à une incurvation de leur surface.

Divisé, fragmenté, le corps du spectateur n'y est jamais reflété dans son entièreté, bien que l'oeuvre soit disposée de manière à lui faire face, voire à l'englober.Avec ces reliefs, Fredrikson développe un dialogue avec l'espace architectural dans lesquels ils s'inscrivent, abolissant leurs limites; lorsqu'ils sont soumis aux vibrations - voix environnantes, tremblements de la surface d'accrochage -; ils résonnent et décuplent leur potentiel de production d'espace.

Extrait "Reliefs en inox" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 91)   

 

  

Lars Fredrikson / Estate
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Exhibition views at Centre Georges Pompidou, Paris, 2017-2018
"Musée en oeuvre(s)"
Collection MNAM - Centre Pompidou, Paris
Lars Fredrikson / Estate
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Biennale de Lyon, 2017-2018
"Mondes Flottants", MAC Lyon
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Mouvement : Hésitation - Décision
25.03-21.05.2017
Galerie In Situ - fabienne leclerc, Paris
© Aurélien Mole
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Exhibition views "Early Works", 2017
Artotheque de Villeurbanne, France
© Guillaume Seyller
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Exhibition views - Ascendant-Descendant, 07.11-19.12.15
© Rebecca Fanuele
Galerie in situ-Fabienne Leclerc, Paris
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Untitled, 1966
Encre et peinture noire et argentée à la bombe sur papier
48 x 51 cm ( 78 x 81 x 3 cm encadré )
Pièce unique
© Rafael Fanelli

 

"PEINTURES A LA BOMBE"

En 1966, Lars Fredrikson réalise une série specifique de peintures à la bombe aérosol. Celle-ci se décline dans des tons gris, bleus et argentés, et précise sa pratique de l'abstraction gestuelle qui débute dès la fin des années 1950. Toutefois, certains aspects formels organiques sont obtenus en négatif par projection de peinture sur des éléments végétaux.

L'utilisation de la peinture aérosol, dont le procédé de pulvérisation se généralise dans le commerce à partir des années 1940, est alors en pleine expansion.

 

Extrait du texte "Peintures à la bombe" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 17)

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Untitled, 1966
Encre et peinture noire et argentée à la bombe sur papier
48 x 51 cm ( 78 x 81 cm encadré )
Pièce unique
© Raphael Fanelli
Collection Galerie In Situ

 

"PEINTURES A LA BOMBE"

En 1966, Lars Fredrikson réalise une série specifique de peintures à la bombe aérosol. Celle-ci se décline dans des tons gris, bleus et argentés, et précise sa pratique de l'abstraction gestuelle qui débute dès la fin des années 1950. Toutefois, certains aspects formels organiques sont obtenus en négatif par projection de peinture sur des éléments végétaux.

L'utilisation de la peinture aérosol, dont le procédé de pulvérisation se généralise dans le commerce à partir des années 1940, est alors en pleine expansion.

 

Extrait du texte "Peintures à la bombe" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 17)

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Sans titre, 1966
Huile et peinture à la bombe et pochoir sur toile
73 x 65 cm
Pièce unique

 

"PEINTURES A LA BOMBE"

En 1966, Lars Fredrikson réalise une série specifique de peintures à la bombe aérosol. Celle-ci se décline dans des tons gris, bleus et argentés, et précise sa pratique de l'abstraction gestuelle qui débute dès la fin des années 1950. Toutefois, certains aspects formels organiques sont obtenus en négatif par projection de peinture sur des éléments végétaux.

L'utilisation de la peinture aérosol, dont le procédé de pulvérisation se généralise dans le commerce à partir des années 1940, est alors en pleine expansion.

 

Extrait du texte "Peintures à la bombe" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 17)

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Lendemains, 1966
Peinture aérosol sur toile
100 x 82 cm
Pièce unique
© Sebastiano de Pellion

 

"PEINTURES A LA BOMBE"

En 1966, Lars Fredrikson réalise une série specifique de peintures à la bombe aérosol. Celle-ci se décline dans des tons gris, bleus et argentés, et précise sa pratique de l'abstraction gestuelle qui débute dès la fin des années 1950. Toutefois, certains aspects formels organiques sont obtenus en négatif par projection de peinture sur des éléments végétaux.

L'utilisation de la peinture aérosol, dont le procédé de pulvérisation se généralise dans le commerce à partir des années 1940, est alors en pleine expansion.

 

Extrait du texte "Peintures à la bombe" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 17)

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Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
37 x 45 cm ( 73 x 80 x 2 cm encadré )
Pièce unique

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

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Inox, 1971
Inox gravé
100 x 100 cm
Pièce unique
Galerie in situ - Fabienne Leclerc, Paris et Gael Fredrikson

 

"REFLIEFS EN INOX"

Dans les années 1960, l'utilisation de miroirs et de surfaces réfléchissantes est de plus en plus répandue dans la sculpture. Elle permet de faire la démonstration de l'importance des déplacements du spectateur dans le lieu de l'exposition, interroge son rapport à l'égo et explore les phénomènes de réflexion lumineuse et de destructuration de l'espace.

C'est dans ce contexte que Lars Fredrikson utilise des plaques en inox dès la fin des années 1960. Ce travail se situe entre la gravure, la peinture et la sculpture, l'artiste y déployant de multiples interventions : éraillures, lignes, incisions perforations et martèlements interviennent sur les deux surfaces. Il associe ces gestes à des traces de peinture, les complète parfois de mobiles en plexiglas ou en métal, ou les soumet à une incurvation de leur surface.

Divisé, fragmenté, le corps du spectateur n'y est jamais reflété dans son entièreté, bien que l'oeuvre soit disposée de manière à lui faire face, voire à l'englober.Avec ces reliefs, Fredrikson développe un dialogue avec l'espace architectural dans lesquels ils s'inscrivent, abolissant leurs limites; lorsqu'ils sont soumis aux vibrations - voix environnantes, tremblements de la surface d'accrochage -; ils résonnent et décuplent leur potentiel de production d'espace.

Extrait "Reliefs en inox" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 91)   

 

  

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Inox, 1986
Inox gravé, peinture et collage
99 x 101 x 20 cm
Pièce unique
© Maureen Favre

 

"REFLIEFS EN INOX"

Dans les années 1960, l'utilisation de miroirs et de surfaces réfléchissantes est de plus en plus répandue dans la sculpture. Elle permet de faire la démonstration de l'importance des déplacements du spectateur dans le lieu de l'exposition, interroge son rapport à l'égo et explore les phénomènes de réflexion lumineuse et de destructuration de l'espace.

C'est dans ce contexte que Lars Fredrikson utilise des plaques en inox dès la fin des années 1960. Ce travail se situe entre la gravure, la peinture et la sculpture, l'artiste y déployant de multiples interventions : éraillures, lignes, incisions perforations et martèlements interviennent sur les deux surfaces. Il associe ces gestes à des traces de peinture, les complète parfois de mobiles en plexiglas ou en métal, ou les soumet à une incurvation de leur surface.

Divisé, fragmenté, le corps du spectateur n'y est jamais reflété dans son entièreté, bien que l'oeuvre soit disposée de manière à lui faire face, voire à l'englober.Avec ces reliefs, Fredrikson développe un dialogue avec l'espace architectural dans lesquels ils s'inscrivent, abolissant leurs limites; lorsqu'ils sont soumis aux vibrations - voix environnantes, tremblements de la surface d'accrochage -; ils résonnent et décuplent leur potentiel de production d'espace.

Extrait "Reliefs en inox" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 91)   

 

  

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Inox, 1971
Inox gravé
100 x 100 cm
Pièce unique

 

"REFLIEFS EN INOX"

Dans les années 1960, l'utilisation de miroirs et de surfaces réfléchissantes est de plus en plus répandue dans la sculpture. Elle permet de faire la démonstration de l'importance des déplacements du spectateur dans le lieu de l'exposition, interroge son rapport à l'égo et explore les phénomènes de réflexion lumineuse et de destructuration de l'espace.

C'est dans ce contexte que Lars Fredrikson utilise des plaques en inox dès la fin des années 1960. Ce travail se situe entre la gravure, la peinture et la sculpture, l'artiste y déployant de multiples interventions : éraillures, lignes, incisions perforations et martèlements interviennent sur les deux surfaces. Il associe ces gestes à des traces de peinture, les complète parfois de mobiles en plexiglas ou en métal, ou les soumet à une incurvation de leur surface.

Divisé, fragmenté, le corps du spectateur n'y est jamais reflété dans son entièreté, bien que l'oeuvre soit disposée de manière à lui faire face, voire à l'englober.Avec ces reliefs, Fredrikson développe un dialogue avec l'espace architectural dans lesquels ils s'inscrivent, abolissant leurs limites; lorsqu'ils sont soumis aux vibrations - voix environnantes, tremblements de la surface d'accrochage -; ils résonnent et décuplent leur potentiel de production d'espace.

Extrait "Reliefs en inox" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 91)   

 

  

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Inox, 1971
Inox gravé
100 x 100 cm
Pièce unique
© Maureen Favre

 

"REFLIEFS EN INOX"

Dans les années 1960, l'utilisation de miroirs et de surfaces réfléchissantes est de plus en plus répandue dans la sculpture. Elle permet de faire la démonstration de l'importance des déplacements du spectateur dans le lieu de l'exposition, interroge son rapport à l'égo et explore les phénomènes de réflexion lumineuse et de destructuration de l'espace.

C'est dans ce contexte que Lars Fredrikson utilise des plaques en inox dès la fin des années 1960. Ce travail se situe entre la gravure, la peinture et la sculpture, l'artiste y déployant de multiples interventions : éraillures, lignes, incisions perforations et martèlements interviennent sur les deux surfaces. Il associe ces gestes à des traces de peinture, les complète parfois de mobiles en plexiglas ou en métal, ou les soumet à une incurvation de leur surface.

Divisé, fragmenté, le corps du spectateur n'y est jamais reflété dans son entièreté, bien que l'oeuvre soit disposée de manière à lui faire face, voire à l'englober.Avec ces reliefs, Fredrikson développe un dialogue avec l'espace architectural dans lesquels ils s'inscrivent, abolissant leurs limites; lorsqu'ils sont soumis aux vibrations - voix environnantes, tremblements de la surface d'accrochage -; ils résonnent et décuplent leur potentiel de production d'espace.

Extrait "Reliefs en inox" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 91)   

 

  

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Inox, 1971
Inox gravé
72 x 39 x 5 cm
Pièce unique

 

"REFLIEFS EN INOX"

Dans les années 1960, l'utilisation de miroirs et de surfaces réfléchissantes est de plus en plus répandue dans la sculpture. Elle permet de faire la démonstration de l'importance des déplacements du spectateur dans le lieu de l'exposition, interroge son rapport à l'égo et explore les phénomènes de réflexion lumineuse et de destructuration de l'espace.

C'est dans ce contexte que Lars Fredrikson utilise des plaques en inox dès la fin des années 1960. Ce travail se situe entre la gravure, la peinture et la sculpture, l'artiste y déployant de multiples interventions : éraillures, lignes, incisions perforations et martèlements interviennent sur les deux surfaces. Il associe ces gestes à des traces de peinture, les complète parfois de mobiles en plexiglas ou en métal, ou les soumet à une incurvation de leur surface.

Divisé, fragmenté, le corps du spectateur n'y est jamais reflété dans son entièreté, bien que l'oeuvre soit disposée de manière à lui faire face, voire à l'englober.Avec ces reliefs, Fredrikson développe un dialogue avec l'espace architectural dans lesquels ils s'inscrivent, abolissant leurs limites; lorsqu'ils sont soumis aux vibrations - voix environnantes, tremblements de la surface d'accrochage -; ils résonnent et décuplent leur potentiel de production d'espace.

Extrait "Reliefs en inox" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 91)   

 

  

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Untitled, 1965
Tissu vinyle, peinture argentée et plastique sur bois
40 x 30 cm
Pièce unique
Signé et daté
© Rebecca Fanuele

 

"PEINTURES A LA BOMBE"

En 1966, Lars Fredrikson réalise une série specifique de peintures à la bombe aérosol. Celle-ci se décline dans des tons gris, bleus et argentés, et précise sa pratique de l'abstraction gestuelle qui débute dès la fin des années 1950. Toutefois, certains aspects formels organiques sont obtenus en négatif par projection de peinture sur des éléments végétaux.

L'utilisation de la peinture aérosol, dont le procédé de pulvérisation se généralise dans le commerce à partir des années 1940, est alors en pleine expansion.

 

Extrait du texte "Peintures à la bombe" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 17)

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Exhibition view " Espaces virtuels " Fondation Maeght 1972
Lars Fredrikson / Estate
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Inox, 1979
Inox gravé, métal et collage
33,5 x 57 x 8 cm
Pièce unique
© Rebecca Fanuele

 

"REFLIEFS EN INOX"

Dans les années 1960, l'utilisation de miroirs et de surfaces réfléchissantes est de plus en plus répandue dans la sculpture. Elle permet de faire la démonstration de l'importance des déplacements du spectateur dans le lieu de l'exposition, interroge son rapport à l'égo et explore les phénomènes de réflexion lumineuse et de destructuration de l'espace.

C'est dans ce contexte que Lars Fredrikson utilise des plaques en inox dès la fin des années 1960. Ce travail se situe entre la gravure, la peinture et la sculpture, l'artiste y déployant de multiples interventions : éraillures, lignes, incisions perforations et martèlements interviennent sur les deux surfaces. Il associe ces gestes à des traces de peinture, les complète parfois de mobiles en plexiglas ou en métal, ou les soumet à une incurvation de leur surface.

Divisé, fragmenté, le corps du spectateur n'y est jamais reflété dans son entièreté, bien que l'oeuvre soit disposée de manière à lui faire face, voire à l'englober.Avec ces reliefs, Fredrikson développe un dialogue avec l'espace architectural dans lesquels ils s'inscrivent, abolissant leurs limites; lorsqu'ils sont soumis aux vibrations - voix environnantes, tremblements de la surface d'accrochage -; ils résonnent et décuplent leur potentiel de production d'espace.

Extrait "Reliefs en inox" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 91)   

 

  

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Exhibition view " Espaces virtuels " Fondation Maeght 1972
Lars Fredrikson / Estate
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Exhibition view " Espaces virtuels " Fondation Maeght 1972
Lars Fredrikson / Estate
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Elyael Inox - Le travail du nom, 1976
Inox gravé, livre et feuillets gravés
19 x 25 x 4 cm
Edition de 40 ex
© Maureen Favre
Lars Fredrikson / Estate
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Elyael Inox - Le travail du nom, 1976
Inox gravé, livre et plexiglas
19 x 25 x 4 cm
Pièce unique
© Maureen Favre
Lars Fredrikson / Estate
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Inox, 1976
Inox gravé
19 x 25 x 4 cm
Pièce unique

 

"REFLIEFS EN INOX"

Dans les années 1960, l'utilisation de miroirs et de surfaces réfléchissantes est de plus en plus répandue dans la sculpture. Elle permet de faire la démonstration de l'importance des déplacements du spectateur dans le lieu de l'exposition, interroge son rapport à l'égo et explore les phénomènes de réflexion lumineuse et de destructuration de l'espace.

C'est dans ce contexte que Lars Fredrikson utilise des plaques en inox dès la fin des années 1960. Ce travail se situe entre la gravure, la peinture et la sculpture, l'artiste y déployant de multiples interventions : éraillures, lignes, incisions perforations et martèlements interviennent sur les deux surfaces. Il associe ces gestes à des traces de peinture, les complète parfois de mobiles en plexiglas ou en métal, ou les soumet à une incurvation de leur surface.

Divisé, fragmenté, le corps du spectateur n'y est jamais reflété dans son entièreté, bien que l'oeuvre soit disposée de manière à lui faire face, voire à l'englober.Avec ces reliefs, Fredrikson développe un dialogue avec l'espace architectural dans lesquels ils s'inscrivent, abolissant leurs limites; lorsqu'ils sont soumis aux vibrations - voix environnantes, tremblements de la surface d'accrochage -; ils résonnent et décuplent leur potentiel de production d'espace.

Extrait "Reliefs en inox" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 91)   

 

  

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Ecriture subversive - écriture pulsée -Télévision, 1969
Photographie
20,2 x 25,5 cm ( 31 x 36 x 2 cm encadré )
Pièce unique

 

Télévisions

Dans les années 1960, alors qu'ont lieu les premières expositions d'oeuvres sur télévisions en Allemagne et aux Etats-Unis, Lars Fredrikson débute ses travaux sur ce médium en concevant ses propres synthétiseurs de fréquences qui lui permettent de générer des formes sur des écrans cathodiques.

Dessins fragmentés et polysensoriels provenant d'impulsions sonores, ces éclats lumineux créent des effets de persistance rétinienne. Lars Fredrikson construit un dispositif visant à entrer en résonance avec les rythmes corporels - battements du coeur, circulation sanguine, fréquences des ondes cérébrales - et générant sur le long terme des effets psychophysiques que l'on retrouve dans ses oeuvres sonores. 

Ces hallucinations sont provoquées grâce à l'apparition, chez le spectateur, d'un état hypnagogique - entre l'éveil et le sommeil -, et manifestent l'importance pour l'artiste de la production d'états de conscience modifiés.

 

En 1969, Fredrikson dépose le brevet d'invention d'un "procédé et dispositif pour produire sur écran des tracés en variation continuelle ou dans un haut-parleur des rythmes musicaux de percussion". La même année, il montre ses téléviseurs à la Maison des Quatre-Vents à Paris dans une exposition personnelle, et participe à " Electromagica 69", au Sony Building de Tokyo. Il figure dans la première exposition majeure d'art vidéo en France, "Art vidéo Confrontation 74", à l'ARC, organisée par Suzanne Pagé au sein du Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, en 1974.

 

Extrait du texte "Télévisions", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 153)

Lars Fredrikson / Estate
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Écriture subversive - écriture pulsée -Télévision, 1969
Photographie
20,2 x 25,5 cm
Pièce unique

 

Télévisions

Dans les années 1960, alors qu'ont lieu les premières expositions d'oeuvres sur télévisions en Allemagne et aux Etats-Unis, Lars Fredrikson débute ses travaux sur ce médium en concevant ses propres synthétiseurs de fréquences qui lui permettent de générer des formes sur des écrans cathodiques.

Dessins fragmentés et polysensoriels provenant d'impulsions sonores, ces éclats lumineux créent des effets de persistance rétinienne. Lars Fredrikson construit un dispositif visant à entrer en résonance avec les rythmes corporels - battements du coeur, circulation sanguine, fréquences des ondes cérébrales - et générant sur le long terme des effets psychophysiques que l'on retrouve dans ses oeuvres sonores. 

Ces hallucinations sont provoquées grâce à l'apparition, chez le spectateur, d'un état hypnagogique - entre l'éveil et le sommeil -, et manifestent l'importance pour l'artiste de la production d'états de conscience modifiés.

 

En 1969, Fredrikson dépose le brevet d'invention d'un "procédé et dispositif pour produire sur écran des tracés en variation continuelle ou dans un haut-parleur des rythmes musicaux de percussion". La même année, il montre ses téléviseurs à la Maison des Quatre-Vents à Paris dans une exposition personnelle, et participe à " Electromagica 69", au Sony Building de Tokyo. Il figure dans la première exposition majeure d'art vidéo en France, "Art vidéo Confrontation 74", à l'ARC, organisée par Suzanne Pagé au sein du Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, en 1974.

 

Extrait du texte "Télévisions", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 153)

Lars Fredrikson / Estate
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Télévision / Ecriture subversive , 1974
Photographie, Tirage vintage
20,2 x 25,5 cm ( 31 x 36 cm encadré )
Pièce unique

 

Télévisions

Dans les années 1960, alors qu'ont lieu les premières expositions d'oeuvres sur télévisions en Allemagne et aux Etats-Unis, Lars Fredrikson débute ses travaux sur ce médium en concevant ses propres synthétiseurs de fréquences qui lui permettent de générer des formes sur des écrans cathodiques.

Dessins fragmentés et polysensoriels provenant d'impulsions sonores, ces éclats lumineux créent des effets de persistance rétinienne. Lars Fredrikson construit un dispositif visant à entrer en résonance avec les rythmes corporels - battements du coeur, circulation sanguine, fréquences des ondes cérébrales - et générant sur le long terme des effets psychophysiques que l'on retrouve dans ses oeuvres sonores. 

Ces hallucinations sont provoquées grâce à l'apparition, chez le spectateur, d'un état hypnagogique - entre l'éveil et le sommeil -, et manifestent l'importance pour l'artiste de la production d'états de conscience modifiés.

 

En 1969, Fredrikson dépose le brevet d'invention d'un "procédé et dispositif pour produire sur écran des tracés en variation continuelle ou dans un haut-parleur des rythmes musicaux de percussion". La même année, il montre ses téléviseurs à la Maison des Quatre-Vents à Paris dans une exposition personnelle, et participe à " Electromagica 69", au Sony Building de Tokyo. Il figure dans la première exposition majeure d'art vidéo en France, "Art vidéo Confrontation 74", à l'ARC, organisée par Suzanne Pagé au sein du Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, en 1974.

 

Extrait du texte "Télévisions", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 153)

Lars Fredrikson / Estate
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Ecriture subversive - écriture pulsée -Télévision, 1969
Photographie
20,2 x 25,5 cm
Pièce unique
Galerie in situ - Fabienne Leclerc, Paris et Gael Fredrikson

 

Télévisions

Dans les années 1960, alors qu'ont lieu les premières expositions d'oeuvres sur télévisions en Allemagne et aux Etats-Unis, Lars Fredrikson débute ses travaux sur ce médium en concevant ses propres synthétiseurs de fréquences qui lui permettent de générer des formes sur des écrans cathodiques.

Dessins fragmentés et polysensoriels provenant d'impulsions sonores, ces éclats lumineux créent des effets de persistance rétinienne. Lars Fredrikson construit un dispositif visant à entrer en résonance avec les rythmes corporels - battements du coeur, circulation sanguine, fréquences des ondes cérébrales - et générant sur le long terme des effets psychophysiques que l'on retrouve dans ses oeuvres sonores. 

Ces hallucinations sont provoquées grâce à l'apparition, chez le spectateur, d'un état hypnagogique - entre l'éveil et le sommeil -, et manifestent l'importance pour l'artiste de la production d'états de conscience modifiés.

 

En 1969, Fredrikson dépose le brevet d'invention d'un "procédé et dispositif pour produire sur écran des tracés en variation continuelle ou dans un haut-parleur des rythmes musicaux de percussion". La même année, il montre ses téléviseurs à la Maison des Quatre-Vents à Paris dans une exposition personnelle, et participe à " Electromagica 69", au Sony Building de Tokyo. Il figure dans la première exposition majeure d'art vidéo en France, "Art vidéo Confrontation 74", à l'ARC, organisée par Suzanne Pagé au sein du Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, en 1974.

 

Extrait du texte "Télévisions", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 153)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Lars Fredrikson / Estate
Pdf

Ecriture subversive - écriture pulsée -Télévision, 1969
Photographie
20,2 x 25,5 cm ( 31 x 36 x 2 cm encadré )
Pièce unique

 

Télévisions

Dans les années 1960, alors qu'ont lieu les premières expositions d'oeuvres sur télévisions en Allemagne et aux Etats-Unis, Lars Fredrikson débute ses travaux sur ce médium en concevant ses propres synthétiseurs de fréquences qui lui permettent de générer des formes sur des écrans cathodiques.

Dessins fragmentés et polysensoriels provenant d'impulsions sonores, ces éclats lumineux créent des effets de persistance rétinienne. Lars Fredrikson construit un dispositif visant à entrer en résonance avec les rythmes corporels - battements du coeur, circulation sanguine, fréquences des ondes cérébrales - et générant sur le long terme des effets psychophysiques que l'on retrouve dans ses oeuvres sonores. 

Ces hallucinations sont provoquées grâce à l'apparition, chez le spectateur, d'un état hypnagogique - entre l'éveil et le sommeil -, et manifestent l'importance pour l'artiste de la production d'états de conscience modifiés.

 

En 1969, Fredrikson dépose le brevet d'invention d'un "procédé et dispositif pour produire sur écran des tracés en variation continuelle ou dans un haut-parleur des rythmes musicaux de percussion". La même année, il montre ses téléviseurs à la Maison des Quatre-Vents à Paris dans une exposition personnelle, et participe à " Electromagica 69", au Sony Building de Tokyo. Il figure dans la première exposition majeure d'art vidéo en France, "Art vidéo Confrontation 74", à l'ARC, organisée par Suzanne Pagé au sein du Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, en 1974.

 

Extrait du texte "Télévisions", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 153)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Pdf

Ecriture subversive - écriture pulsée -Télévision, 1969
Photographie
20,2 x 25,5 cm
Pièce unique

 

Télévisions

Dans les années 1960, alors qu'ont lieu les premières expositions d'oeuvres sur télévisions en Allemagne et aux Etats-Unis, Lars Fredrikson débute ses travaux sur ce médium en concevant ses propres synthétiseurs de fréquences qui lui permettent de générer des formes sur des écrans cathodiques.

Dessins fragmentés et polysensoriels provenant d'impulsions sonores, ces éclats lumineux créent des effets de persistance rétinienne. Lars Fredrikson construit un dispositif visant à entrer en résonance avec les rythmes corporels - battements du coeur, circulation sanguine, fréquences des ondes cérébrales - et générant sur le long terme des effets psychophysiques que l'on retrouve dans ses oeuvres sonores. 

Ces hallucinations sont provoquées grâce à l'apparition, chez le spectateur, d'un état hypnagogique - entre l'éveil et le sommeil -, et manifestent l'importance pour l'artiste de la production d'états de conscience modifiés.

 

En 1969, Fredrikson dépose le brevet d'invention d'un "procédé et dispositif pour produire sur écran des tracés en variation continuelle ou dans un haut-parleur des rythmes musicaux de percussion". La même année, il montre ses téléviseurs à la Maison des Quatre-Vents à Paris dans une exposition personnelle, et participe à " Electromagica 69", au Sony Building de Tokyo. Il figure dans la première exposition majeure d'art vidéo en France, "Art vidéo Confrontation 74", à l'ARC, organisée par Suzanne Pagé au sein du Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, en 1974.

 

Extrait du texte "Télévisions", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 153)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Lars Fredrikson / Estate
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Ecriture subversive - écriture pulsée -Télévision, 1969
Photographie vintage
20,2 x 25,5 cm ( 31 x 36 cm encadré )
Pièce unique

 

Télévisions

Dans les années 1960, alors qu'ont lieu les premières expositions d'oeuvres sur télévisions en Allemagne et aux Etats-Unis, Lars Fredrikson débute ses travaux sur ce médium en concevant ses propres synthétiseurs de fréquences qui lui permettent de générer des formes sur des écrans cathodiques.

Dessins fragmentés et polysensoriels provenant d'impulsions sonores, ces éclats lumineux créent des effets de persistance rétinienne. Lars Fredrikson construit un dispositif visant à entrer en résonance avec les rythmes corporels - battements du coeur, circulation sanguine, fréquences des ondes cérébrales - et générant sur le long terme des effets psychophysiques que l'on retrouve dans ses oeuvres sonores. 

Ces hallucinations sont provoquées grâce à l'apparition, chez le spectateur, d'un état hypnagogique - entre l'éveil et le sommeil -, et manifestent l'importance pour l'artiste de la production d'états de conscience modifiés.

 

En 1969, Fredrikson dépose le brevet d'invention d'un "procédé et dispositif pour produire sur écran des tracés en variation continuelle ou dans un haut-parleur des rythmes musicaux de percussion". La même année, il montre ses téléviseurs à la Maison des Quatre-Vents à Paris dans une exposition personnelle, et participe à " Electromagica 69", au Sony Building de Tokyo. Il figure dans la première exposition majeure d'art vidéo en France, "Art vidéo Confrontation 74", à l'ARC, organisée par Suzanne Pagé au sein du Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, en 1974.

 

Extrait du texte "Télévisions", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 153)

Lars Fredrikson / Estate
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Télévision, Avril 1968
Photographie, Tirage vintage
18 x 24 cm ( 31 x 36 cm encadré )
Pièce unique
Lars Fredrikson / Estate
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Ecriture subversive - écriture pulsée -Télévision, 1969
Photographie
20,2 x 25,5 cm
Pièce unique

 

Télévisions

Dans les années 1960, alors qu'ont lieu les premières expositions d'oeuvres sur télévisions en Allemagne et aux Etats-Unis, Lars Fredrikson débute ses travaux sur ce médium en concevant ses propres synthétiseurs de fréquences qui lui permettent de générer des formes sur des écrans cathodiques.

Dessins fragmentés et polysensoriels provenant d'impulsions sonores, ces éclats lumineux créent des effets de persistance rétinienne. Lars Fredrikson construit un dispositif visant à entrer en résonance avec les rythmes corporels - battements du coeur, circulation sanguine, fréquences des ondes cérébrales - et générant sur le long terme des effets psychophysiques que l'on retrouve dans ses oeuvres sonores. 

Ces hallucinations sont provoquées grâce à l'apparition, chez le spectateur, d'un état hypnagogique - entre l'éveil et le sommeil -, et manifestent l'importance pour l'artiste de la production d'états de conscience modifiés.

 

En 1969, Fredrikson dépose le brevet d'invention d'un "procédé et dispositif pour produire sur écran des tracés en variation continuelle ou dans un haut-parleur des rythmes musicaux de percussion". La même année, il montre ses téléviseurs à la Maison des Quatre-Vents à Paris dans une exposition personnelle, et participe à " Electromagica 69", au Sony Building de Tokyo. Il figure dans la première exposition majeure d'art vidéo en France, "Art vidéo Confrontation 74", à l'ARC, organisée par Suzanne Pagé au sein du Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, en 1974.

 

Extrait du texte "Télévisions", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 153)

Lars Fredrikson / Estate
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Télévision, 1969
Photographie
20,2 x 25,5 cm ( 31 x 36 cm encadré )
Pièce unique

 

Télévisions

Dans les années 1960, alors qu'ont lieu les premières expositions d'oeuvres sur télévisions en Allemagne et aux Etats-Unis, Lars Fredrikson débute ses travaux sur ce médium en concevant ses propres synthétiseurs de fréquences qui lui permettent de générer des formes sur des écrans cathodiques.

Dessins fragmentés et polysensoriels provenant d'impulsions sonores, ces éclats lumineux créent des effets de persistance rétinienne. Lars Fredrikson construit un dispositif visant à entrer en résonance avec les rythmes corporels - battements du coeur, circulation sanguine, fréquences des ondes cérébrales - et générant sur le long terme des effets psychophysiques que l'on retrouve dans ses oeuvres sonores. 

Ces hallucinations sont provoquées grâce à l'apparition, chez le spectateur, d'un état hypnagogique - entre l'éveil et le sommeil -, et manifestent l'importance pour l'artiste de la production d'états de conscience modifiés.

 

En 1969, Fredrikson dépose le brevet d'invention d'un "procédé et dispositif pour produire sur écran des tracés en variation continuelle ou dans un haut-parleur des rythmes musicaux de percussion". La même année, il montre ses téléviseurs à la Maison des Quatre-Vents à Paris dans une exposition personnelle, et participe à " Electromagica 69", au Sony Building de Tokyo. Il figure dans la première exposition majeure d'art vidéo en France, "Art vidéo Confrontation 74", à l'ARC, organisée par Suzanne Pagé au sein du Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, en 1974.

 

Extrait du texte "Télévisions", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 153)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
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Untilted, 1989
Tube pvc, transformateur et adaptateur électrique
40 x 30 x 5 cm
Pièce unique
Signé et daté
Lars Fredrikson / Estate
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Untilted, 1993
Tube pvc et adaptateur électrique
80 x 20 x 5 cm
Pièce unique
Signé et daté
Lars Fredrikson / Estate
Détails
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Artist studio for Sound installations & Fax pieces

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
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Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
14 x 19 cm
Pièce unique
© Rebecca Fanuele

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
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Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
10,5 x 18 cm (Feuille 24 x 32,5 cm)
Pièce unique
© Rebecca Fanuele / Galerie In Situ-fabienne leclerc, Grand Paris & Lars Fredrikson Estate

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
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Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
14 x 9 cm
Pièce unique
© Rebecca Fanuele

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
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Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
28,9 x 20,1 cm ( 58 x 39,5 cm encadré )
Pièce unique
Galerie in situ - Fabienne Leclerc, Paris et Gael Fredrikson

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Pdf

Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
13 x 37 cm ( 34,5 x 52 cm encadré )
Pièce unique

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Pdf

Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
35 x 28 cm ( 67 x 52 cm encadré )
Pièce unique
© Maureen Favre

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Pdf

Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
14 x 31,5 cm ( 39,5 x 68,5 cm encadré )
Pièce unique

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Pdf

Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
16,5 x 12 cm ( 40 x 34 x 3 cm encadré )
Pièce unique
© Maureen Favre

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Pdf

Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
26,5 x 35,5 cm ( 52 x 67 x 3 cm encadré )
Pièce unique
© Maureen Favre

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Pdf

Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
22 x 36,5 cm ( 40 x 59 cm encadré )
Pièce unique
© Maureen Favre

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Pdf

Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
9 x 9 cm (feuille 36,6 x 27 cm)
Pièce unique
© Maureen Favre

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Pdf

Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
12,8 x 11,3 cm (feuille : 43,7 x 33,5 cm)
Pièce unique
Galerie in situ - Fabienne Leclerc, Paris et Lars Fredrikson Estate

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Pdf

Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
20,5 x 7 cm (Sheet 32,2 x 19,6 cm)
Pièce unique
Galerie in situ - Fabienne Leclerc, Paris et Lars Fredrikson Estate

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
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Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
31,6 x 22,3 cm (feuille: 64,9 x 50 cm) ( 67 x 52 x 3 cm encadré )
Pièce unique
© Thomas Lannes , Galerie in situ - Fabienne Leclerc, Paris et Lars Fredrikson Estate

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
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Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
12,5 x 16,5 cm
Pièce unique
© Maureen Favre

 

FAX

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Pdf

Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
21 x 27 cm ( 42,5 x 48 cm encadré )
Pièce unique

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
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Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
26,5 x 36 cm ( 57 x 67 cm encadré )
Pièce unique

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
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Fax, 1980
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
14,2 x 36,6 cm ( 34 x 52 cm encadré )
Pièce unique
Galerie in situ - Fabienne Leclerc, Paris et Gael Fredrikson

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
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Fax, 1976
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
14,7 x 22,2 cm (Sheet 24,1 x 32,3 cm)
Pièce unique
Galerie in situ - Fabienne Leclerc, Paris et Lars Fredrikson Estate

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Pdf

Fax, 1984
Dessin enregistré sur papier électrosensible contre-collé sur papier
52 x 67 cm
Pièce unique
© Maureen Favre

 

"FAX"

Dans les années 1970, Lars Fredrikson trouve, chez un brocanteur, un dispositif de télécopie provenant de l'armée. A partir de 1974, il réalise ses premiers fax.

Ces impressions sont souvent issues d'informations de presse ou de météorologie, qu'il parvient à capter grâce à des procédés de connexion radiophoniques. Les informations ainsi reçues sont transférées directement sur un papier d'enregistrement : une électrode en soumet la surface électrosensible au passage d'une impulsion électrique, le faisant changer de coloration en fonction de l'intensité de ce signal.

Ces impressions par électrographie génèrent des réseaux de lignes. Ils peuvent former des images photographiques rappelant les sujets violents que l'artiste aborde dans les années 1960 dans ses collages, ou des relevés cartographiques. Fredrikson brouille parfois ces impressions par l'injection de fréquences sonores ou la réception d'événements électromagnétiques cosmiques, comme l'incarnation visuelle de flux ondulatoires non jugulés par les moyens de communication.

La production de fax de Lars Fredrikson connait une période intense au tournant des années 1970, bien avant que ce procédé ne se généralise dans son utilisation domestiques en France, et, à la fin des années 1980, dans les arts visuels et télématiques.

 

Extrait du texte "FAX", Catalogue de l'exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 241)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
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Untitled, 1965
Collage et encre transférée au trichloréthylène sur papier et bois marouflé sur panneau
60 x 90 cm ( 65 x 95 x 4 cm encadré )
Pièce unique
© Aurélien Mole / Galerie in situ - Fabienne Leclerc, Grand Paris & Lars Fredrikson-Estate

 

"COLLAGES"

A Vevouil, entre 1963 et 1965, Lars Fredrikson réalise une série de collages, dont une douzaine nous sont parvenus. Collectant les magazines d'actualité et d'images qu'il récupère, par exemple, dans la salle d'attente du cabinet d'orthophoniste de Madeleine, sa compagne, à Avignon, il déploie des accumulations dynamiques, scandées d'éléments visuels qui se répondent par association ou contraste sémantiques.

Lorsque Fredrikson réalise cette série circonscrite, les manipulations des éléments de consommation et des images de la culture de masse par les artistes sont nombreuses ; de Wolf Vostell à Robert Rauschenberg, la tendance est à l'exaltation ou à la critique des fétichismes et des mythes de la société moderne. Les artistes du mouvement du pop art anglais ou américain, et les Nouveaux Réalistes en France explorent cette pratique qui témoigne de l'avènement d'une société de l'image et du spectacle.

 

Construits à partir de rapprochements d'idées où se profilent une critique de la société de consommation ou des conflits armés, les collages de Lars Fredrikson sont exposés une première fois en 1965 à la Galerie Lafare à Avignon. Ils montrent l'importance de la déconstruction de l'image dans le parcours de l'artiste.

 

Extrait du texte "Collages", Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 25)

Lars Fredrikson / Estate
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Lars Fredrikson / Estate
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Untitled, 1965
Collage de papier sur bois
93 x 63 cm
Pièce unique
Galerie in situ - Fabienne Leclerc, Grand Paris & Lars Fredrikson-Estate

 

"COLLAGES"

A Vevouil, entre 1963 et 1965, Lars Fredrikson réalise une série de collages, dont une douzaine nous sont parvenus. Collectant les magazines d'actualité et d'images qu'il récupère, par exemple, dans la salle d'attente du cabinet d'orthophoniste de Madeleine, sa compagne, à Avignon, il déploie des accumulations dynamiques, scandées d'éléments visuels qui se répondent par association ou contraste sémantiques.

Lorsque Fredrikson réalise cette série circonscrite, les manipulations des éléments de consommation et des images de la culture de masse par les artistes sont nombreuses ; de Wolf Vostell à Robert Rauschenberg, la tendance est à l'exaltation ou à la critique des fétichismes et des mythes de la société moderne. Les artistes du mouvement du pop art anglais ou américain, et les Nouveaux Réalistes en France explorent cette pratique qui témoigne de l'avènement d'une société de l'image et du spectacle.

 

Construits à partir de rapprochements d'idées où se profilent une critique de la société de consommation ou des conflits armés, les collages de Lars Fredrikson sont exposés une première fois en 1965 à la Galerie Lafare à Avignon. Ils montrent l'importance de la déconstruction de l'image dans le parcours de l'artiste.

 

Extrait du texte "Collages", Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 25)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Lars Fredrikson / Estate
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Untitled, 1965
Collage sur papier marouflé sur bois
76 x 103 cm
Pièce unique

 

"COLLAGES"

A Vevouil, entre 1963 et 1965, Lars Fredrikson réalise une série de collages, dont une douzaine nous sont parvenus. Collectant les magazines d'actualité et d'images qu'il récupère, par exemple, dans la salle d'attente du cabinet d'orthophoniste de Madeleine, sa compagne, à Avignon, il déploie des accumulations dynamiques, scandées d'éléments visuels qui se répondent par association ou contraste sémantiques.

Lorsque Fredrikson réalise cette série circonscrite, les manipulations des éléments de consommation et des images de la culture de masse par les artistes sont nombreuses ; de Wolf Vostell à Robert Rauschenberg, la tendance est à l'exaltation ou à la critique des fétichismes et des mythes de la société moderne. Les artistes du mouvement du pop art anglais ou américain, et les Nouveaux Réalistes en France explorent cette pratique qui témoigne de l'avènement d'une société de l'image et du spectacle.

 

Construits à partir de rapprochements d'idées où se profilent une critique de la société de consommation ou des conflits armés, les collages de Lars Fredrikson sont exposés une première fois en 1965 à la Galerie Lafare à Avignon. Ils montrent l'importance de la déconstruction de l'image dans le parcours de l'artiste.

 

Extrait du texte "Collages", Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 25)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
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Untitled, 1965
Collage et peinture sur papier marouflé sur panneau de bois
76 x 92 cm
Pièce unique
Galerie In Situ - fabienne leclerc, Grand Paris & Lars Fredrikson - Estate

 

"COLLAGES"

A Vevouil, entre 1963 et 1965, Lars Fredrikson réalise une série de collages, dont une douzaine nous sont parvenus. Collectant les magazines d'actualité et d'images qu'il récupère, par exemple, dans la salle d'attente du cabinet d'orthophoniste de Madeleine, sa compagne, à Avignon, il déploie des accumulations dynamiques, scandées d'éléments visuels qui se répondent par association ou contraste sémantiques.

Lorsque Fredrikson réalise cette série circonscrite, les manipulations des éléments de consommation et des images de la culture de masse par les artistes sont nombreuses ; de Wolf Vostell à Robert Rauschenberg, la tendance est à l'exaltation ou à la critique des fétichismes et des mythes de la société moderne. Les artistes du mouvement du pop art anglais ou américain, et les Nouveaux Réalistes en France explorent cette pratique qui témoigne de l'avènement d'une société de l'image et du spectacle.

 

Construits à partir de rapprochements d'idées où se profilent une critique de la société de consommation ou des conflits armés, les collages de Lars Fredrikson sont exposés une première fois en 1965 à la Galerie Lafare à Avignon. Ils montrent l'importance de la déconstruction de l'image dans le parcours de l'artiste.

 

Extrait du texte "Collages", Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 25)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Pdf

Untilted, 1965
Collage et peinture sur papier et bois marouflé sur panneau
86 x 108 cm
Pièce unique
© Aurelien Mole

 

"COLLAGES"

A Vevouil, entre 1963 et 1965, Lars Fredrikson réalise une série de collages, dont une douzaine nous sont parvenus. Collectant les magazines d'actualité et d'images qu'il récupère, par exemple, dans la salle d'attente du cabinet d'orthophoniste de Madeleine, sa compagne, à Avignon, il déploie des accumulations dynamiques, scandées d'éléments visuels qui se répondent par association ou contraste sémantiques.

Lorsque Fredrikson réalise cette série circonscrite, les manipulations des éléments de consommation et des images de la culture de masse par les artistes sont nombreuses ; de Wolf Vostell à Robert Rauschenberg, la tendance est à l'exaltation ou à la critique des fétichismes et des mythes de la société moderne. Les artistes du mouvement du pop art anglais ou américain, et les Nouveaux Réalistes en France explorent cette pratique qui témoigne de l'avènement d'une société de l'image et du spectacle.

 

Construits à partir de rapprochements d'idées où se profilent une critique de la société de consommation ou des conflits armés, les collages de Lars Fredrikson sont exposés une première fois en 1965 à la Galerie Lafare à Avignon. Ils montrent l'importance de la déconstruction de l'image dans le parcours de l'artiste.

 

Extrait du texte "Collages", Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 25)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Pdf

Untitled, 1965
Collage et peinture sur toile
76 x 113 cm
Pièce unique
© Maureen Favre

 

"COLLAGES"

A Vevouil, entre 1963 et 1965, Lars Fredrikson réalise une série de collages, dont une douzaine nous sont parvenus. Collectant les magazines d'actualité et d'images qu'il récupère, par exemple, dans la salle d'attente du cabinet d'orthophoniste de Madeleine, sa compagne, à Avignon, il déploie des accumulations dynamiques, scandées d'éléments visuels qui se répondent par association ou contraste sémantiques.

Lorsque Fredrikson réalise cette série circonscrite, les manipulations des éléments de consommation et des images de la culture de masse par les artistes sont nombreuses ; de Wolf Vostell à Robert Rauschenberg, la tendance est à l'exaltation ou à la critique des fétichismes et des mythes de la société moderne. Les artistes du mouvement du pop art anglais ou américain, et les Nouveaux Réalistes en France explorent cette pratique qui témoigne de l'avènement d'une société de l'image et du spectacle.

 

Construits à partir de rapprochements d'idées où se profilent une critique de la société de consommation ou des conflits armés, les collages de Lars Fredrikson sont exposés une première fois en 1965 à la Galerie Lafare à Avignon. Ils montrent l'importance de la déconstruction de l'image dans le parcours de l'artiste.

 

Extrait du texte "Collages", Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 25)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Pdf

Untitled, 1965
Collage et peinture sur papier
94 x 120 cm
Pièce unique
© Maureen Favre

 

"COLLAGES"

A Vevouil, entre 1963 et 1965, Lars Fredrikson réalise une série de collages, dont une douzaine nous sont parvenus. Collectant les magazines d'actualité et d'images qu'il récupère, par exemple, dans la salle d'attente du cabinet d'orthophoniste de Madeleine, sa compagne, à Avignon, il déploie des accumulations dynamiques, scandées d'éléments visuels qui se répondent par association ou contraste sémantiques.

Lorsque Fredrikson réalise cette série circonscrite, les manipulations des éléments de consommation et des images de la culture de masse par les artistes sont nombreuses ; de Wolf Vostell à Robert Rauschenberg, la tendance est à l'exaltation ou à la critique des fétichismes et des mythes de la société moderne. Les artistes du mouvement du pop art anglais ou américain, et les Nouveaux Réalistes en France explorent cette pratique qui témoigne de l'avènement d'une société de l'image et du spectacle.

 

Construits à partir de rapprochements d'idées où se profilent une critique de la société de consommation ou des conflits armés, les collages de Lars Fredrikson sont exposés une première fois en 1965 à la Galerie Lafare à Avignon. Ils montrent l'importance de la déconstruction de l'image dans le parcours de l'artiste.

 

Extrait du texte "Collages", Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 25)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
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Untitled, 1964
Huile sur toile
120 x 96 cm ( 128 x 102 cm encadré )
Pièce unique
Galerie In Situ - fabienne leclerc, Paris & Lars Fredrikson Estate
Lars Fredrikson / Estate
Détails
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Untitled, 1965
Huile sur toile
92 x 73 cm
Pièce unique
© Maureen Favre

 

"Peintures et aquarelles"

Comme beaucoup de suédois après la Seconde Guerre mondiale, Lars Fredrikson complète sa formation artistique en France, ert s'inscrit à l'Académie de la Grande Chaumière à Paris, une école d'art privée.

Admirateur de Kasimir Malevitch et de Vassily Kandinsky, il découvre l'art optique et cinétique, l'abstraction géométrique, et s'intéresse au peintre Auguste Herbin qui vient de mettre au point un répertoire analogique de formes, notes de musique et couleurs.

C'est sur la base de ces correspondances que Lars Fredrikson déploie, tout au long de son activité d'artiste, un mode d'expression qui le rapproche de la peinture gestuelle, fondée sur la notion de mouvement primordial. Amateur de philosophie zen et de calligraphie chinoise et japonaise, Lars Fredrikson est également très marqué par l'influence du suprématisme, mouvement russe porté par Malevitch à la fin des années 1910, qui explore les relations à un état originel par les formes pures faisant écho à une autre réalité.

A l'instar de Kandinsky, qui cherche à restituer l'expressivité de la musique, Lars Fredrikson tente d'appréhender les flux énergétiques par le corps et de les saisir sur la toile sans volonté mimétique.

Les toiles et aquarelles de Lars Fredrikson n'ont pas de centre, elles se développent selon le modèle du all over et interrogent les limites de leur surface et du champ de vision. Poinçons, éraillures parsèment la toile et font appel à un espace vibratoire qui la dépasse.

 

Extrait du texte "Peintures et aquarelles" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 209)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
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Untitled, 1963
Huile sur toile
97 x 130 cm
Pièce unique
Galerie in situ - Fabienne Leclerc, Paris et Lars Fredrikson - Estate

 

"Peintures et aquarelles"

Comme beaucoup de suédois après la Seconde Guerre mondiale, Lars Fredrikson complète sa formation artistique en France, ert s'inscrit à l'Académie de la Grande Chaumière à Paris, une école d'art privée.

Admirateur de Kasimir Malevitch et de Vassily Kandinsky, il découvre l'art optique et cinétique, l'abstraction géométrique, et s'intéresse au peintre Auguste Herbin qui vient de mettre au point un répertoire analogique de formes, notes de musique et couleurs.

C'est sur la base de ces correspondances que Lars Fredrikson déploie, tout au long de son activité d'artiste, un mode d'expression qui le rapproche de la peinture gestuelle, fondée sur la notion de mouvement primordial. Amateur de philosophie zen et de calligraphie chinoise et japonaise, Lars Fredrikson est également très marqué par l'influence du suprématisme, mouvement russe porté par Malevitch à la fin des années 1910, qui explore les relations à un état originel par les formes pures faisant écho à une autre réalité.

A l'instar de Kandinsky, qui cherche à restituer l'expressivité de la musique, Lars Fredrikson tente d'appréhender les flux énergétiques par le corps et de les saisir sur la toile sans volonté mimétique.

Les toiles et aquarelles de Lars Fredrikson n'ont pas de centre, elles se développent selon le modèle du all over et interrogent les limites de leur surface et du champ de vision. Poinçons, éraillures parsèment la toile et font appel à un espace vibratoire qui la dépasse.

 

Extrait du texte "Peintures et aquarelles" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 209)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
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Untitled, 1967
Huile sur toile
130 x 162 cm
Pièce unique
© Maureen Favre
Lars Fredrikson / Estate
Détails
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Untitled, 1979
Huile, aquarelle et cheveux sur toile
130 x 97 cm
Pièce unique
© Maureen Favre

 

"PEINTURES ET AQUARELLES"

Comme beaucoup de suédois après la Seconde Guerre mondiale, Lars Fredrikson complète sa formation artistique en France, ert s'inscrit à l'Académie de la Grande Chaumière à Paris, une école d'art privée.

Admirateur de Kasimir Malevitch et de Vassily Kandinsky, il découvre l'art optique et cinétique, l'abstraction géométrique, et s'intéresse au peintre Auguste Herbin qui vient de mettre au point un répertoire analogique de formes, notes de musique et couleurs.

C'est sur la base de ces correspondances que Lars Fredrikson déploie, tout au long de son activité d'artiste, un mode d'expression qui le rapproche de la peinture gestuelle, fondée sur la notion de mouvement primordial. Amateur de philosophie zen et de calligraphie chinoise et japonaise, Lars Fredrikson est également très marqué par l'influence du suprématisme, mouvement russe porté par Malevitch à la fin des années 1910, qui explore les relations à un état originel par les formes pures faisant écho à une autre réalité.

A l'instar de Kandinsky, qui cherche à restituer l'expressivité de la musique, Lars Fredrikson tente d'appréhender les flux énergétiques par le corps et de les saisir sur la toile sans volonté mimétique.

Les toiles et aquarelles de Lars Fredrikson n'ont pas de centre, elles se développent selon le modèle du all over et interrogent les limites de leur surface et du champ de vision. Poinçons, éraillures parsèment la toile et font appel à un espace vibratoire qui la dépasse.

 

Extrait du texte "Peintures et aquarelles" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 209)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Pdf

Untitled, 1976
Huile sur toile
97 x 130 cm
Pièce unique
© Maureen Favre

 

Peintures et aquarelles

Comme beaucoup de suédois après la Seconde Guerre mondiale, Lars Fredrikson complète sa formation artistique en France, ert s'inscrit à l'Académie de la Grande Chaumière à Paris, une école d'art privée.

Admirateur de Kasimir Malevitch et de Vassily Kandinsky, il découvre l'art optique et cinétique , l'abstraction géométrique, et s'intéresse au peintre Auguste Herbin qui vient de mettre au point un répertoire analogique de formes, notes de musique et couleurs.

C'est sur la base de ces correspondances que Lars Fredrikson déploie, tout au long de son activité d'artiste, un mode d'expression qui le rapproche de la peinture gestuelle, fondée sur la notion de mouvement primordial. Amateur de philosophie zen et de calligraphie chinoise et japonaise, Lars Fredrikson est également très marqué par l'influence du suprématisme, mouvement russe porté par Malevitch à la fin des années 1910, qui explore les relations à un état originel par les formes pures faisant écho à une autre réalité.

A l'instar de Kandinsky, qui cherche à restituer l'expressivité de la musique, Lars Fredrikson tente d'appréhender les flux énergétiques par le corps et de les saisir sur la toile sans volonté mimétique.

Les toiles et aquarelles de Lars Fredrikson n'ont pas de centre, elles se développent selon le modèle du all over et interrogent les limites de leur surface et du champ de vision. Poinçons, éraillures parsèment la toile et font appel à un espace vibratoire qui la dépasse.

 

Extrait du texte "Peintures et aquarelles" Catalogue de l' exposition rétrospective Lars Fredrikson au MAMAC de Nice, novembre 2019 (éd MOUSSE PUBLISHING 2019, page 209)

Lars Fredrikson / Estate
Détails
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
Lars Fredrikson / Estate
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Lars Fredrikson History
Pièce unique
© Fondation Maeght, Saint Paul de Vence
Lars Fredrikson / Estate
Détails
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Exhibition view - The Mystery Spot - Fondation d'entreprise Ricard, 2012
Curator : Marc Bembekoff
Grand carré I, 1971 / © Aurélie Mole & Fondation d'entreprise Ricard
Public Collection CNAP, France