Gerald Petit

Gerald  Petit
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Noumène (#4), 2025
Sérigraphie numérique sur dibond
120 x 100 cm
Edition de 4 ex + 1 AP

À propos de « Noumène », 2025. Gerald Petit
Ce sont des images réalisées sur logiciel, une seule contenant un élément photographique (Noumènes #3), produites dans le souci de revendiquer les limites d?une résolution administrée par le potentiel du programme et de la machine utilisée : Les pixels sont générés par le choix d?un format (un fichier de 120x100 cm) et d?une résolution par défaut (300 DPI, le standard du genre). De là, la composition se trame empiriquement, au gré des potentiels immédiats des outils à disposition. D?abord avec un souci de neutralité quant aux formes générées, c?est-à-dire en pleine résolution, puis avec celui de corrompre l?intégrité de chaque calque (puisque les motifs se succèdent couche après couche, comme s?il s?agissait de transparents superposés, à l?instar des compositions analogiques dans les dessins d?animation par exemple).

Le résultat cherche volontiers un seuil, une limite entre ce que le logiciel permet comme lissage et simultanément ce qu?il augure comme crêtes : des zones de fusion accidentées par les modes de synthèses, des aberrations de rendu dans les textures, des brèches dans l?application des traitements par couches. Bref, l?envie de rompre l?illusion malgré l?effort d?en produire une. Autrement dit, ce sont des images « funk », qui transpirent leur mode de fabrication et leur sensualité, à l?instar du Funk, genre musical volontiers charnel, dans l?idée que ces images révèlent à la fois une peau (une peau d?orange) et le procédé qui la génère. 

Ou pour le dire autrement encore, faire des images fongibles et non fongibles, des exagérations d?elles-mêmes, insinuant leur réalité propre (l?objet en soi), leur énigme, leur inaccessibilité. Déterminées par des influences aussi vernaculaires, ces compositions assument tour à tour leur révérence à un univers fantasmagorique, funk en un seul mot, et leur irrévérence pour le bon goût,
en référence à Bourdieu.

Noumène, définition et significations :
Mot tiré du grec noumenon (????µ??o?), participe passif du verbe noein qui signifie « concevoir par l?intellect », par l?esprit (noùs), le noumène acquiert un sens philosophique avec Kant, qui l?oppose au phénomène. Cette opposition joue un rôle fondamental dans la Critique de la raison pure (1781) dont le but est de montrer qu?il ne peut pas y avoir de science métaphysique, contrairement à ce que pensaient Descartes ou Leibniz, parce que toute connaissance doit avoir une base empirique, c?est-à-dire un lien avec l?expérience.  Autrement dit, ne sont connaissables pour Kant que les phénomènes. Ces derniers ne sont pas de simples apparences plus ou moins illusoires mais des objets réels appréhendés à la fois par notre sensibilité et par notre entendement, qui les structure selon des catégories lui étant propres (comme la quantité, la qualité, etc). Les phénomènes sont paradoxalement à la fois objectifs et déterminés par le mode de connaissance du sujet : ils définissent bien les choses? mais les choses « pour nous ».

Par opposition, les noumènes restent inconnaissables parce qu?ils désignent les choses « en soi », c?est-à-dire les choses telles qu?elles ne nous apparaissent jamais. Mais qu?apporte alors à la réflexion le concept de noumène, s?il ne désigne que ce qui échappe définitivement à la connaissance ? N?est-il pas un simple mot creux ? Pourquoi Kant s?attarde-t-il au milieu de la Critique de la raison pure à consacrer un chapitre entier au « principe de la distinction de tous les objets en général en phénomènes et en noumènes » ? Parce qu?il veut montrer que si des objets « simplement conçus par l?entendement », sans intuition sensible, ne peuvent que nous égarer dans le projet d?étendre le plus loin possible le champ de la science, cet égarement n?est pas tel que nous en serions les victimes inconscientes. En forgeant le concept de noumène, « concept
limitatif » dont la valeur est seulement négative (puisqu?on ne peut rien en dire positivement), Kant établit que la raison a le pouvoir de se limiter elle-même en assignant à l?entendement une frontière (Grenze) infranchissable dans sa volonté de connaître.

Le noumène, « concept nécessaire pour qu?on n?étende pas l?intuition sensible jusqu?aux choses en soi », permet donc de comprendre ce que Kant entend par « critique » (du grec krinein : discriminer, circonscrire) : non pas une limitation imposée de l?extérieur, par obscurantisme, à notre possibilité de connaître, mais une frontière que la raison s?impose à elle-même quand elle s?interroge scrupuleusement sur ses objets de connaissance. Le noumène, en passant de la censure extérieure à la critique de l?intérieur, permet ainsi de déterminer le seuil au-delà duquel la science n?est plus possible parce que les catégories de l?entendement n?ont plus rien à quoi s?appliquer. Le noumène est ainsi ce par quoi la conscience sensible se sait et se pose comme limitée. 

La distinction entre phénomène et noumène est donc cruciale pour Kant, parce qu?elle permet d?établir qu?aucune des idées métaphysiques (principalement : l?âme, le monde et Dieu) ne peut être l?objet d?un jugement apodictique (c?est-à-dire démontré, comme en mathématique) ou assertorique (c?est-à-dire vérifié par les faits, comme en physique), mais seulement problématique. Et c?est pourquoi, faute de savoir classer les objets de la connaissance en phénomènes et en noumènes, les métaphysiciens débattent indéfiniment et inutilement entre eux pour savoir si l?âme est immortelle ou pas, si le monde est fini ou infini, si Dieu existe ou non. Aussi, lorsque Kant écrit que le noumène est un « concept problématique », il ne veut pas dire que ce concept est mal fondé ou contradictoire mais que ce qu?il désigne, par-delà le « pays de l?entendement », est analogue à « un vaste et orageux océan, empire de l?illusion, où maint brouillard, maints bancs de glace en fusion présentent l?image de pays nouveaux » et attirants pour le navigateur insouciant. Vouloir connaître les noumènes, c?est s?aventurer vers un monde inconnu où l?on est sûr de se perdre parce qu?il demeure inaccessible.

Gerald  Petit
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Noumène (#1), 2025
Sérigraphie numérique sur dibond
120 x 100 cm
Edition de 4 ex + 1 AP

À propos de « Noumène », 2025. Gerald Petit
Ce sont des images réalisées sur logiciel, une seule contenant un élément photographique (Noumènes #3), produites dans le souci de revendiquer les limites d?une résolution administrée par le potentiel du programme et de la machine utilisée : Les pixels sont générés par le choix d?un format (un fichier de 120x100 cm) et d?une résolution par défaut (300 DPI, le standard du genre). De là, la composition se trame empiriquement, au gré des potentiels immédiats des outils à disposition. D?abord avec un souci de neutralité quant aux formes générées, c?est-à-dire en pleine résolution, puis avec celui de corrompre l?intégrité de chaque calque (puisque les motifs se succèdent couche après couche, comme s?il s?agissait de transparents superposés, à l?instar des compositions analogiques dans les dessins d?animation par exemple).

Le résultat cherche volontiers un seuil, une limite entre ce que le logiciel permet comme lissage et simultanément ce qu?il augure comme crêtes : des zones de fusion accidentées par les modes de synthèses, des aberrations de rendu dans les textures, des brèches dans l?application des traitements par couches. Bref, l?envie de rompre l?illusion malgré l?effort d?en produire une. Autrement dit, ce sont des images « funk », qui transpirent leur mode de fabrication et leur sensualité, à l?instar du Funk, genre musical volontiers charnel, dans l?idée que ces images révèlent à la fois une peau (une peau d?orange) et le procédé qui la génère. 

Ou pour le dire autrement encore, faire des images fongibles et non fongibles, des exagérations d?elles-mêmes, insinuant leur réalité propre (l?objet en soi), leur énigme, leur inaccessibilité. Déterminées par des influences aussi vernaculaires, ces compositions assument tour à tour leur révérence à un univers fantasmagorique, funk en un seul mot, et leur irrévérence pour le bon goût,
en référence à Bourdieu.

Noumène, définition et significations :
Mot tiré du grec noumenon (????µ??o?), participe passif du verbe noein qui signifie « concevoir par l?intellect », par l?esprit (noùs), le noumène acquiert un sens philosophique avec Kant, qui l?oppose au phénomène. Cette opposition joue un rôle fondamental dans la Critique de la raison pure (1781) dont le but est de montrer qu?il ne peut pas y avoir de science métaphysique, contrairement à ce que pensaient Descartes ou Leibniz, parce que toute connaissance doit avoir une base empirique, c?est-à-dire un lien avec l?expérience.  Autrement dit, ne sont connaissables pour Kant que les phénomènes. Ces derniers ne sont pas de simples apparences plus ou moins illusoires mais des objets réels appréhendés à la fois par notre sensibilité et par notre entendement, qui les structure selon des catégories lui étant propres (comme la quantité, la qualité, etc). Les phénomènes sont paradoxalement à la fois objectifs et déterminés par le mode de connaissance du sujet : ils définissent bien les choses? mais les choses « pour nous ».

Par opposition, les noumènes restent inconnaissables parce qu?ils désignent les choses « en soi », c?est-à-dire les choses telles qu?elles ne nous apparaissent jamais. Mais qu?apporte alors à la réflexion le concept de noumène, s?il ne désigne que ce qui échappe définitivement à la connaissance ? N?est-il pas un simple mot creux ? Pourquoi Kant s?attarde-t-il au milieu de la Critique de la raison pure à consacrer un chapitre entier au « principe de la distinction de tous les objets en général en phénomènes et en noumènes » ? Parce qu?il veut montrer que si des objets « simplement conçus par l?entendement », sans intuition sensible, ne peuvent que nous égarer dans le projet d?étendre le plus loin possible le champ de la science, cet égarement n?est pas tel que nous en serions les victimes inconscientes. En forgeant le concept de noumène, « concept limitatif » dont la valeur est seulement négative (puisqu?on ne peut rien en dire positivement), Kant établit que la raison a le pouvoir de se limiter elle-même en assignant à l?entendement une frontière (Grenze) infranchissable dans sa volonté de connaître.

Le noumène, « concept nécessaire pour qu?on n?étende pas l?intuition sensible jusqu?aux choses en soi », permet donc de comprendre ce que Kant entend par « critique » (du grec krinein : discriminer, circonscrire) : non pas une limitation imposée de l?extérieur, par obscurantisme, à notre possibilité de connaître, mais une frontière que la raison s?impose à elle-même quand elle s?interroge scrupuleusement sur ses objets de connaissance. Le noumène, en passant de la censure extérieure à la critique de l?intérieur, permet ainsi de déterminer le seuil au-delà duquel la science n?est plus possible parce que les catégories de l?entendement n?ont plus rien à quoi s?appliquer. Le noumène est ainsi ce par quoi la conscience sensible se sait et se pose comme limitée. 

La distinction entre phénomène et noumène est donc cruciale pour Kant, parce qu?elle permet d?établir qu?aucune des idées métaphysiques (principalement : l?âme, le monde et Dieu) ne peut être l?objet d?un jugement apodictique (c?est-à-dire démontré, comme en mathématique) ou assertorique (c?est-à-dire vérifié par les faits, comme en physique), mais seulement problématique. Et c?est pourquoi, faute de savoir classer les objets de la connaissance en phénomènes et en noumènes, les métaphysiciens débattent indéfiniment et inutilement entre eux pour savoir si l?âme est immortelle ou pas, si le monde est fini ou infini, si Dieu existe ou non. Aussi, lorsque Kant écrit que le noumène est un « concept problématique », il ne veut pas dire que ce concept est mal fondé ou contradictoire mais que ce qu?il désigne, par-delà le « pays de l?entendement », est analogue à « un vaste et orageux océan, empire de l?illusion, où maint brouillard, maints bancs de glace en fusion présentent l?image de pays nouveaux » et attirants pour le navigateur insouciant. Vouloir connaître les noumènes, c?est s?aventurer vers un monde inconnu où l?on est sûr de se perdre parce qu?il demeure inaccessible.

Gerald  Petit
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Noumène (#2), 2025
Sérigraphie numérique sur dibond
120 x 100 cm
Edition de 4 ex + 1 AP

À propos de « Noumène », 2025. Gerald Petit
Ce sont des images réalisées sur logiciel, une seule contenant un élément photographique (Noumènes #3), produites dans le souci de revendiquer les limites d?une résolution administrée par le potentiel du programme et de la machine utilisée : Les pixels sont générés par le choix d?un format (un fichier de 120x100 cm) et d?une résolution par défaut (300 DPI, le standard du genre). De là, la composition se trame empiriquement, au gré des potentiels immédiats des outils à disposition. D?abord avec un souci de neutralité quant aux formes générées, c?est-à-dire en pleine résolution, puis avec celui de corrompre l?intégrité de chaque calque (puisque les motifs se succèdent couche après couche, comme s?il s?agissait de transparents superposés, à l?instar des compositions analogiques dans les dessins d?animation par exemple).

Le résultat cherche volontiers un seuil, une limite entre ce que le logiciel permet comme lissage et simultanément ce qu?il augure comme crêtes : des zones de fusion accidentées par les modes de synthèses, des aberrations de rendu dans les textures, des brèches dans l?application des traitements par couches. Bref, l?envie de rompre l?illusion malgré l?effort d?en produire une. Autrement dit, ce sont des images « funk », qui transpirent leur mode de fabrication et leur sensualité, à l?instar du Funk, genre musical volontiers charnel, dans l?idée que ces images révèlent à la fois une peau (une peau d?orange) et le procédé qui la génère. 

Ou pour le dire autrement encore, faire des images fongibles et non fongibles, des exagérations d?elles-mêmes, insinuant leur réalité propre (l?objet en soi), leur énigme, leur inaccessibilité. Déterminées par des influences aussi vernaculaires, ces compositions assument tour à tour leur révérence à un univers fantasmagorique, funk en un seul mot, et leur irrévérence pour le bon goût,
en référence à Bourdieu.

Noumène, définition et significations :
Mot tiré du grec noumenon (????µ??o?), participe passif du verbe noein qui signifie « concevoir par l?intellect », par l?esprit (noùs), le noumène acquiert un sens philosophique avec Kant, qui l?oppose au phénomène. Cette opposition joue un rôle fondamental dans la Critique de la raison pure (1781) dont le but est de montrer qu?il ne peut pas y avoir de science métaphysique, contrairement à ce que pensaient Descartes ou Leibniz, parce que toute connaissance doit avoir une base empirique, c?est-à-dire un lien avec l?expérience.  Autrement dit, ne sont connaissables pour Kant que les phénomènes. Ces derniers ne sont pas de simples apparences plus ou moins illusoires mais des objets réels appréhendés à la fois par notre sensibilité et par notre entendement, qui les structure selon des catégories lui étant propres (comme la quantité, la qualité, etc). Les phénomènes sont paradoxalement à la fois objectifs et déterminés par le mode de connaissance du sujet : ils définissent bien les choses? mais les choses « pour nous ».

Par opposition, les noumènes restent inconnaissables parce qu?ils désignent les choses « en soi », c?est-à-dire les choses telles qu?elles ne nous apparaissent jamais. Mais qu?apporte alors à la réflexion le concept de noumène, s?il ne désigne que ce qui échappe définitivement à la connaissance ? N?est-il pas un simple mot creux ? Pourquoi Kant s?attarde-t-il au milieu de la Critique de la raison pure à consacrer un chapitre entier au « principe de la distinction de tous les objets en général en phénomènes et en noumènes » ? Parce qu?il veut montrer que si des objets « simplement conçus par l?entendement », sans intuition sensible, ne peuvent que nous égarer dans le projet d?étendre le plus loin possible le champ de la science, cet égarement n?est pas tel que nous en serions les victimes inconscientes. En forgeant le concept de noumène, « concept
limitatif » dont la valeur est seulement négative (puisqu?on ne peut rien en dire positivement), Kant établit que la raison a le pouvoir de se limiter elle-même en assignant à l?entendement une frontière (Grenze) infranchissable dans sa volonté de connaître.

Le noumène, « concept nécessaire pour qu?on n?étende pas l?intuition sensible jusqu?aux choses en soi », permet donc de comprendre ce que Kant entend par « critique » (du grec krinein : discriminer, circonscrire) : non pas une limitation imposée de l?extérieur, par obscurantisme, à notre possibilité de connaître, mais une frontière que la raison s?impose à elle-même quand elle s?interroge scrupuleusement sur ses objets de connaissance. Le noumène, en passant de la censure extérieure à la critique de l?intérieur, permet ainsi de déterminer le seuil au-delà duquel la science n?est plus possible parce que les catégories de l?entendement n?ont plus rien à quoi s?appliquer. Le noumène est ainsi ce par quoi la conscience sensible se sait et se pose comme limitée. 

La distinction entre phénomène et noumène est donc cruciale pour Kant, parce qu?elle permet d?établir qu?aucune des idées métaphysiques (principalement : l?âme, le monde et Dieu) ne peut être l?objet d?un jugement apodictique (c?est-à-dire démontré, comme en mathématique) ou assertorique (c?est-à-dire vérifié par les faits, comme en physique), mais seulement problématique. Et c?est pourquoi, faute de savoir classer les objets de la connaissance en phénomènes et en noumènes, les métaphysiciens débattent indéfiniment et inutilement entre eux pour savoir si l?âme est immortelle ou pas, si le monde est fini ou infini, si Dieu existe ou non. Aussi, lorsque Kant écrit que le noumène est un « concept problématique », il ne veut pas dire que ce concept est mal fondé ou contradictoire mais que ce qu?il désigne, par-delà le « pays de l?entendement », est analogue à « un vaste et orageux océan, empire de l?illusion, où maint brouillard, maints bancs de glace en fusion présentent l?image de pays nouveaux » et attirants pour le navigateur insouciant. Vouloir connaître les noumènes, c?est s?aventurer vers un monde inconnu où l?on est sûr de se perdre parce qu?il demeure inaccessible.

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AMAREM, 2025
Vue d'exposition à la Galerie In Situ - fabienne leclerc, Grand Paris
© Aurélien Mole
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AMAREM, 2024
Huile sur toiles
2 x (200 x 166 cm) dimensions totales : 200 x 332 cm
Pièce unique
© Aurélien Mole
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Sans titre, 2024
Huile sur bois
35,5 x 27 cm
Pièce unique
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Sans titre (&if, #2), 2024
Huile sur bois
50 x 40 cm
Pièce unique
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Ni île, 2023
Vue d'exposition au Frac Normandie, Caen
© Clérin-Morin
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I Know not what tomorrow will bring, 2023
Huile sur toile
132,5 x 110 cm
Pièce unique
© Gerald Petit
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Sans titre (I know not what tomorrow will bring), 2023
Huile sur toile
3 x (132,5 x 110 cm) - over all : 132,5 x 360 cm
Pièce unique
© Gerald Petit
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I Know not what tomorrow will bring, 2023
Huile sur toile
132,5 x 110 cm
Pièce unique
© Gerald Petit
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I Know not what tomorrow will bring (Last), 2023
Huile sur toile
200 x 166 cm
Pièce unique
© Gerald Petit
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Tirages (#5), 2023
Huile sur bois
60 x 50 cm
Pièce unique
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Images, 2023
Vue de l'exposition au Frac Normandie/Rouen
© Cléret/Morin
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Images, 2023
Huile sur toile
200 x 166 cm
Pièce unique
© Gerald Petit
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Images, 2023
Huile sur toile
200 x 166 cm
Pièce unique
© Gerald Petit
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Ni Île, 2023
Acrylique, huile, feutre alcool et gesso sur toile
200 x 166 cm
Pièce unique
© Gerald Petit
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Sans titre (The Night After), 2022
Huile sur bois
40 x 30 cm
Pièce unique
© Gerald Petit
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Sans titre (Blooming), 2021
Huile sur bois
53 x 42 cm
Pièce unique
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Le Mauvais Oeil, 2020
Vue d'exposition au Frac Auvergne, Clermont-Ferrand
© Frac Auvergne
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Sans Titre (Etude 2 pour Moderne), 2020
Huile sur bois
50 x 40 cm
Pièce unique
© Gerald Petit
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Etude pour Tight Tips, 2016
Huile sur bois
50 x 40 cm
Pièce unique
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Sans titre (picnic), 1998-2014
Tirage pigmentaire sur Rag Satin
100 x 120 cm ( 103 x 123 cm encadré )
Edition de 4 ex + 1 AP
© Gerald Petit
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Black Bird, 2014
Tirage pigmentaire sur Rag Satin
120 x 100 cm ( 123 x 103 cm encadré )
Edition de 3 ex + 2 AP
© Gerald Petit
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L'entremise, 2013
Vue d'exposition à la Fondation Ricard, Paris
© Aurélien Mole
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Somewhere a lake, 2003-2013
Tirage pigmentaire sur Rag Satin
138,68 x 111,72 cm ( 142 x 115 cm encadré )
Edition de 4 ex + 1 AP
© Gerald Petit
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Le bal, 2013
Huile sur toile
200 x 166 cm
Pièce unique
© Gerald Petit
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A Conversation Piece, 2011
Vue d'exposition à MLIS, Villeurbanne
© MLIS Villeurbanne
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La Transformation, 2010
Sérigraphie et mat de voilier brisé par la tempête Xynthia
Vue de l'exposition "Les Modifications", EAC La Rochelle, 2010
Pièce unique
© EAC La Rochelle
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La Jetée , 2010
Jetée en bois peinte à la gouache, sur laquelle est disposée l'édition
Vue de l'exposition "Les Modifications", EAC La Rochelle, 2010
Pièce unique
© EAC La Rochelle
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Sexy Dancer, 2007
Vue d'exposition à La Salle de Bains
© La Salle de Bains
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Facing the present that night at Otter Lake, 2006
Vue d'exposition à Lmak Projects Gallery, New York
© Gerald Petit
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Hiroshima Art Document, 2003
Hiroshima
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Code unknown, 2004
Vue d'exposition au Palais de Tokyo, Paris
© Palais de Tokyo